Un studio photo au Nord de l’Ouganda : le point de départ de la série photographique de Martina Bacigalupo. Des portraits sans visages empreints du récit des habitants de Gulu, à la recherche d’une photo d’identité.
Martina Bacigalupo récupère ces rebuts désincarnés se concentre sur les postures et les vêtements des sujets qui illustrent une certaine communauté. Des histoires bouleversantes qui décrivent les conditions politiques, économiques et sociales de l’Afrique des Grands Lacs, se cachent derrière ces portraits sans tête.