Hier avait lieu le vernissage de l’événement photographique de Gironde, à la vieille église Saint-Vincent, en présence d’Alain Anziani, Maire de Mérignac, du commissaire d’exposition invité de l’édition 2017 : François Cheval, et des artistes.
Les photographies tapissent les murs de la vieille église. D’un côté, les Dernières femmes tatouées du Kalinga de Jake Verzosa nous scrutent du regard… de l’autre, une multitude de mains effleurent le parcours de notre vision. Au fond du sanctuaire, le Gorille photographié par Isabel Muñoz trône sur l’assemblée. Depuis l’entrée, il nous examine et nous interroge.
Le public gravite autour des oeuvres exposées. Malgré l’effervescence, les participants restent solennels face à la constellation de photographies, qui éblouie et en inspire plus d’un. Entre surprise et contemplation, les spectateurs s’attachent petit à petit à l’esprit du festival.
« Un festival photo à la recherche du contact humain »
Suite à cette exploration, nos yeux se rivent sur la scène. Alain Anziani, Maire de Mérignac et François Cheval, Commissaire d’exposition invité, s’apprêtent à prendre la parole. Accompagnés des photographes, ils illustrent leurs parcours ainsi que les enjeux du Mérignac Photographic Festival, tout en partageant quelques anecdotes.
Le cortège d’artistes se fond progressivement dans la foule. Andrea Santolaya présente sa série Waniku à une petite assemblée… Qian Haifeng capture plusieurs photos… Jake Verzosa déambule dans l’exposition… Quelques personnes discutent entre elles et s’arrachent des oeuvres d’art, grâce aux blocs de photos à emporter… Le public et les artistes s’entremêlent, célébrant et ravivant cet esprit de communauté.
Pour revivre cette soirée en image, rendez-vous sur la photothèque du festival.